Cet évangile renvoie au jugement dernier. Il est lu relativement souvent, et à chaque fois comme j'aime bien les chèvres (plus que les moutons), je regrette cette dichotomie. Mais...
Mais je me suis dit que les boucs (ou les béliers dans d'autres traductions), ne renvoient pas seulement au mal (ce qui est le cas du bouc, parce que spontanément nous pensons au bouc émissaire ou aux représentations du diable), mais que cette représentation évoque aussi la force; aux combats corne à corne pour être le maitre du troupeau.
Globalement les boucs, ou les béliers, ce sont ceux qui ont de la puissance, de l'endurance et qui au fond d'eux mêmes sont surs d'être les meilleurs. Alors je pense que leur surprise doit être bien grande de se rendre compte que ce sont les brebis, qui vont entrer dans le royaume et pas eux.
En d'autre termes, réussir dans la vie, être fort et puissant, n'est pas du tout un critère de réussite pour la vie éternelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire